Une nouvelle recherche maintenant disponible sur la façon dont les Canadiens interagissent avec les prospectus livrés dans les journaux

En octobre 2012, la FDSA, qui établit les normes entourant les prospectus au Canada, mettait en branle une étude de recherche à l’échelle nationale en collaboration avec Journaux canadiens dans le but de mesurer l’usage des prospectus et d’autres données importantes concernant l’interaction des consommateurs avec les prospectus.

Plus de 1700 entrevues en ligne furent effectuées avec des Canadiens âgés de 18 ans et plus, provenant de tous les coins du pays dans le but de :

  • Mesurer l’usage des prospectus imprimés et électroniques, des catalogues, des échantillons et des coupons.
  • Établir la fréquence avec laquelle les Canadiens aimeraient recevoir de tels prospectus.
  • Déterminer l’utilisation que font les Canadiens des prospectus imprimés et électroniques, des catalogues, des échantillons et des coupons en matière d’information, de disponibilité et de prix pour une variété de produits et de services.
  • Connaître les gestes que posent les Canadiens après avoir consulté de tels prospectus.

Parmi les grandes lignes de l’étude, notons ce qui suit :

  • Plus de Canadiens sont exposés aux prospectus imprimés qu’aux prospectus électroniques, catalogues ou coupons.
  • Plus de 90 % des Canadiens accueillent avec plaisir l’arrivée des prospectus imprimés.
  • Plus de 80 % d’entre eux souhaitent recevoir des prospectus une fois ou plus par semaine.
  • Les prospectus imprimés sont utilisés plus souvent que les prospectus électroniques, les catalogues ou les coupons pour se renseigner sur les prix et sur l’endroit où acheter la plupart des 15 produits et services mesurés dans l’étude.
  • Les prospectus incitent les consommateurs à agir – trois consommateurs sur quatre ont visité des magasins ou des détaillants après avoir vu un prospectus.

Cliquez ici pour voir une présentation des grands résultats de l’étude sur le site de la FDSA. Veuillez noter que cette étude n’est disponible qu’en langue anglaise.