La prolifération des données, souvent appelée « big data », est une expression à la mode ces jours-ci. Pourquoi? Parce que tout le monde souhaite analyser ses consommateurs, ses décisions en termes de placement publicitaire, et bien d’autres choses. Bref, on souhaite tout analyser. Pour les campagnes publicitaires, la question devient plutôt : Quoi mesurer? Quelles conclusions en tirer? Et plus inquiétant encore, quelles mauvaises conclusions en tire-t-on?
Dans son plus récent blogue pour l’INMA, Suzanne Raitt parle de facteurs qualitatifs et quantitatifs à prendre en considération lorsque l’on mesure le succès d’une campagne publicitaire, et pourquoi les profits et l’appréciation ne sont pas tout.