Liberal Party announces plans to ‘Level the Playing Field with Digital Giants’ (Le Parti libéral annonce son intention de ‘Rétablir l’équilibre avec les géants numériques’) (Médias d’info Canada)
Le Parti libéral du Canada a annoncé qu’il s’engageait à « rétablir l’équilibre avec les géants numériques » et à fournir d’autres mesures de soutien au journalisme s’il était réélu lors des prochaines élections fédérales.
Dans l’annonce de leur plateforme, les libéraux se sont engagés à « [i]nstaurer dans les 100 jours une loi qui obligerait les plateformes numériques tirant des revenus de la publication de nouvelles à partager une part de leurs revenus avec les organes d’information canadiens. Cette loi serait basée sur le modèle australien et créerait des règles équitables entre les plateformes mondiales et les organes d’information canadiens. Le projet de loi permettra aussi aux organes de presse de se concerter en vue des négociations collectives ».
Politicizing pharmaceuticals and other commentary (La politisation des produits pharmaceutiques et d’autres commentaires) (New York Post)
Un éditorial récent signé par Jamie Irving, président du conseil, et Paul Deegan, président et chef de la direction de Médias d’info Canada, a attiré l’attention au sud de la frontière. Le New York Post a republié certains des commentaires incisifs des auteurs sur la façon dont le modèle australien protège le journalisme et la démocratie contre les géants de la technologie, tels que Facebook et Google, qui profitent du contenu des médias d’information fiables tout en favorisant la polarisation des opinions.
Misinformation on Facebook got six times more clicks than factual news during 2020 U.S. election, study says (Selon une étude, les fausses informations sur Facebook ont obtenu six fois plus de clics que les informations factuelles lors des élections américaines de 2020) (Washington Post)
Une nouvelle étude du comportement des utilisateurs sur Facebook autour de l’élection américaine de 2020 a révélé que les algorithmes de l’entreprise ont contribué à alimenter la diffusion de fausses informations au détriment de sources plus dignes de confiance.
L’étude, qui sera bientôt examinée par des pairs, menée par des chercheurs de l’université de New York et de l’université Grenoble Alpes en France, a révélé qu’entre août 2020 et janvier 2021, les médias d’informations connus pour diffuser des informations erronées ont obtenu six fois plus de mentions « J’aime », de partages et d’interactions sur la plateforme que les sources d’informations dignes de confiance.